Nous nous sommes quelques temps côtoyés
Sans tout de suite vraiment imaginer
Vers quelle situation nous allions nous diriger,
Sans imaginer qu'un jour on allait s'aimer.
Seulement, nous ne pouvions vivre cet amour,
Car je ne devais partir dans quelques jours.
Pourtant, n'écoutant que ton cœur et oubliant tes peurs,
Tu as trouvé en toi la force de faire mon bonheur:
Un beau jour, tu demanda à me parler
Et, ignorant tout ce qui allait se passer,
J'acceptai, te donnai la main, l'estomac noué.
Tu me dis que tu m'aimais, et j'ai pleuré.
Tu me pris alors dans tes bras,
Et, tes belles lèvres sur les mienne tu posa.
Toi, fille sublime et déesse inaccessible,
Tu acceptas de m'aimer, chose incompréhensible.
Nous vécûmes ensemble ces derniers jours,
Et, lorsque vint le jour où je devais partir,
Tu me confirma que notre relation durerait toujours,
Que même sans se voir nous allions tenir.
Nous restâmes en contact durant ces terribles mois,
Puis nous nous retrouvâmes, toi et moi:
Notre amour mutuel était intact, à peine égratigné.
Je devais bientôt repartir mais je ne cesserais de t'aimer.
Mon cœur, par cette poésie je veux te montrer
Que même si bientôt nous nous séparerons,
Je ne pourrais cependant cesser de t'aimer
Et j'attendrais patiemment le jour où nous nous retrouverons.
Mon amour, par cette poésie j'espère te faire rêver,
J'espère que tu pourras finalement penser
Que notre amour est plus fort que la séparation.
Aimes-moi et alors, ensemble, nous y arriverons.
Sans tout de suite vraiment imaginer
Vers quelle situation nous allions nous diriger,
Sans imaginer qu'un jour on allait s'aimer.
Seulement, nous ne pouvions vivre cet amour,
Car je ne devais partir dans quelques jours.
Pourtant, n'écoutant que ton cœur et oubliant tes peurs,
Tu as trouvé en toi la force de faire mon bonheur:
Un beau jour, tu demanda à me parler
Et, ignorant tout ce qui allait se passer,
J'acceptai, te donnai la main, l'estomac noué.
Tu me dis que tu m'aimais, et j'ai pleuré.
Tu me pris alors dans tes bras,
Et, tes belles lèvres sur les mienne tu posa.
Toi, fille sublime et déesse inaccessible,
Tu acceptas de m'aimer, chose incompréhensible.
Nous vécûmes ensemble ces derniers jours,
Et, lorsque vint le jour où je devais partir,
Tu me confirma que notre relation durerait toujours,
Que même sans se voir nous allions tenir.
Nous restâmes en contact durant ces terribles mois,
Puis nous nous retrouvâmes, toi et moi:
Notre amour mutuel était intact, à peine égratigné.
Je devais bientôt repartir mais je ne cesserais de t'aimer.
Mon cœur, par cette poésie je veux te montrer
Que même si bientôt nous nous séparerons,
Je ne pourrais cependant cesser de t'aimer
Et j'attendrais patiemment le jour où nous nous retrouverons.
Mon amour, par cette poésie j'espère te faire rêver,
J'espère que tu pourras finalement penser
Que notre amour est plus fort que la séparation.
Aimes-moi et alors, ensemble, nous y arriverons.
